Alors que l'état de certains navires exploités par des opérateurs marocains présentes de graves manquements à la salubrité et le confort nécessaire à la traversée de nos MRE, les autorités maritimes chargées du contrôle au niveau central et régional ont préféré la politique de l'autruche face à ces manquements.
Ainsi, le quartier maritime de Tanger semble indifférent depuis longtemps à l'état des navires qui opèrent dans le détroit, préférant laisser le soin aux autorités maritimes espagnoles pour faire le travail comme dans le cas du QUEEN NEFERTITI qui a du faire l'objet d'une visite et d'un contrôle en Espagne pour remédier a ses défaillances techniques.
La passivité ne fait pas une politique, car dans le secteur du transport maritime et surtout à passagers, les erreurs peuvent coûter très chères surtout en termes humains et d'images, un accident peut vite arriver si l'attention se relâche.