Qu’ils soient gardiens de phares, pilotes, lamaneurs, hydrographes, équipages de remorqueurs ou de dragues, les marins de l’ombre assistent les navires dans des conditions de travail extrêmes, parfois au péril de leurs vies. Ils incarnent la mémoire de notre culture maritime.
Cependant, l’actualité, toujours ingrate, ne retient que quelques images spectaculaires et passe sous silence notre dette immense vis-à-vis de ces marins valeureux. Leur mérite est victime de l’ignorance et de l’absence totale de culture portuaire de ceux qui président aux destinées des ports du Maroc de 1962 à 2010.
Aucune reconnaissance n’a jamais été formulée à leur égard ; dans le présent article, nous tentons de réparer cette ingratitude et aussi de mieux faire connaître le courage de ces hommes, un courage qui remonte loin dans le temps.
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