Le secrétariat de la Commission interministérielle pour le Développement de l’Economie Bleue (CIDEB) est assuré par le Ministère délégué auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargé du Budget, par le biais de l'Unité de gestion du projet (UGP) Économie bleue domiciliée en son sein.

La Commission Interministérielle pour le Développement de l’Economie Bleue (CIDEB) sera placée sous la Présidence du Chef de Gouvernement. Elle sera soutenue par un comité technique (CT) placé sous la tutelle du ministère de l’Économie et des Finances. Le comité technique aura pour rôle principal de fournir l'assistance technique à ladite Commission. La présente circulaire a pour objet de définir les missions, les champs d'intervention, la composition et les modalités de fonctionnement des instances susmentionnées.

Pour réussir le pari du développement de l’Economie Bleue, le Gouvernement semble vouloir se donner les moyens de ses ambitions notamment à travers l’élaboration d’une Stratégie nationale d'Economie Bleue, intégrée et durable sera élaboré sur la base d'une approche de coordination institutionnelle qui, déclinée au niveau régional.

Le Chef du Gouvernement Mr Aziz AKHANOUCH vient d’adresser une circulaire à l’ensemble des Ministres, Ministres Délégués, Hauts Commissaires et le Délégué Général les informant de la mise en place de la Commission Interministérielle pour le développement de l’Economie Bleue (CIDEB).

Le Ministère de l’Economie et des Finances et la Banque Mondiale ont signé conjointement l’accord de Don d’un montant de 5 Millions de $ pour accélérer le développement de l’économie bleue au Maroc.

Le Gouvernement de Aziz AKHANOUCH compte mettre en œuvre un nouveau Programme National de l'Economie Bleue évalué à 2 MM US$, et cela en partenariat avec la Banque mondiale, qui finance une composante de 350 MUS$ sous forme de Programme Pour les Résultats (PPR), conformément aux dispositions du décret n° 2-22-518 du 21 hija 1443 (21 juillet 2022), relatif à l'accord de financement de ce programme signé entre le Royaume du Maroc et la Banque mondiale.

Il est constaté, la mention sur certains contrats, d’une « clause d’arbitrage » en tant que disposition contractuelle destinée à déterminer la compétence juridictionnelle en cas d’éventuel conflit concernant l’interprétation du contrat ou de son exécution.