L'Association internationale du transport aérien (IATA) a défini les principales priorités pour assurer la viabilité à long terme de l'aviation en Afrique australe, alors que le secteur continue à souffrir des effets dévastateurs de la pandémie de COVID-19 et des restrictions de voyage qui y sont associées :

Le Jeudi 1er Octobre 2020, l’Office National des chemins de Fer (ONCF) en étroite collaboration avec l’Union Internationale des Chemins de Fer (UIC) a donné le coup d’envoi au cycle « des Jeudis du Rail Africain » en organisant une téléconférence consacrée à la thématique : « L’essor de la digitalisation dans le transport ferroviaire : panorama sur quelques expériences ».

L'Association internationale du transport aérien (IATA) a démontré la faible incidence de la transmission de COVID-19 en vol en publiant une liste actualisée des cas. Depuis le début de l'année 2020, 44 cas de COVID-19 ont été signalés, dans lesquels la transmission serait associée à un voyage en avion (y compris les cas confirmés, probables et potentiels). Au cours de la même période, quelque 1,2 milliard de passagers ont voyagé.

L'Association internationale du transport aérien (IATA) a averti que l'industrie du transport aérien brûlera 77 milliards de dollars en espèces au cours du second semestre 2020 (près de 13 milliards de dollars par mois ou 300 000 dollars par minute), malgré la reprise des activités. En raison de la lente reprise du transport aérien, l'industrie aérienne continuera à brûler des liquidités à un rythme moyen de 5 à 6 milliards de dollars par mois en 2021.

"La gestion du métro d’Alger sera confiée à une entreprise 100% algérienne", a déclaré M. Lazhar à la presse, en précisant que le contrat liant l’EMA au partenaire étranger (RATP- El Djazaïr, filiale de la compagnie française RATP-Développement), arrivera à son terme le 31 octobre courant.